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Raphaël Sylvestre Bouchard
5 reviews on 1 places
Note à moi-même : ne plus prendre du thé une heure et demie avant de plonger dans les bras de Morphée.
Je vais maintenant tenter un exercice épineux, soit l’écriture, entre bâillements intensifs et massages revigorants du visage, d’un commentaire sur le mirifique moment que j’ai pensé chez Pizza Bouquet — que Dieu les bénisse — en compagnie de ma bonne amie qui, elle aussi, semblait oscillante entre éveil et sommeil par moments. Un sommeil, pas d’ennui, mais de béatitude. La sorte de béatitude que l’on ressent quand on aboutit à deux dans un petit coin de paradis. Il s’ensuivit un enchaînement constant de sourires, de poilades et d’accolades.
Non seulement les pointes de pizzas étaient, pour ainsi dire, tiguidou (exquises, pour nos amis français), mais l’ambiance elle-même invitait à l’évasion et à la contemplation. Des notes intemporelles de jazz (c’était bien du jazz, oui ? À l’aide.) berçaient nos oreilles et préparaient nos papilles à la dégustation. Les tabourets sont ingénieusement alignés le long des grandes fenêtres qui donnent sur la rue, mais qui n’ôtaient en rien l’intimité de l’endroit. Au contraire, vous aurez l’impression d’être dans un univers où n’existez que vous et vos ravissantes pointes.
Mon conseil : optez pour une expérience à deux et goûter à toutes les options disponibles. Il s’avère que sur les six du banc d’essai, nous avons élu 4 gagnantes différentes, et une seule s’est retrouvée sur nos deux listes : celle aux patates. Toujours aussi surprenante !
Si, à la fin de votre repas, vous vous demandez à l’instar de moi, où ces pizzaioli ont acquis leur savoir-faire (un séjour en Italie ? Un cours à New York ?) vous serez peut-être étonnés d’apprendre que la réponse est : internet (et ensuite, un processus de perfectionnement, bien entendu). En somme, ils ont réinterprété magistralement un grand classique mondial à la sauce montréalaise.
Miam.
Je vais maintenant tenter un exercice épineux, soit l’écriture, entre bâillements intensifs et massages revigorants du visage, d’un commentaire sur le mirifique moment que j’ai pensé chez Pizza Bouquet — que Dieu les bénisse — en compagnie de ma bonne amie qui, elle aussi, semblait oscillante entre éveil et sommeil par moments. Un sommeil, pas d’ennui, mais de béatitude. La sorte de béatitude que l’on ressent quand on aboutit à deux dans un petit coin de paradis. Il s’ensuivit un enchaînement constant de sourires, de poilades et d’accolades.
Non seulement les pointes de pizzas étaient, pour ainsi dire, tiguidou (exquises, pour nos amis français), mais l’ambiance elle-même invitait à l’évasion et à la contemplation. Des notes intemporelles de jazz (c’était bien du jazz, oui ? À l’aide.) berçaient nos oreilles et préparaient nos papilles à la dégustation. Les tabourets sont ingénieusement alignés le long des grandes fenêtres qui donnent sur la rue, mais qui n’ôtaient en rien l’intimité de l’endroit. Au contraire, vous aurez l’impression d’être dans un univers où n’existez que vous et vos ravissantes pointes.
Mon conseil : optez pour une expérience à deux et goûter à toutes les options disponibles. Il s’avère que sur les six du banc d’essai, nous avons élu 4 gagnantes différentes, et une seule s’est retrouvée sur nos deux listes : celle aux patates. Toujours aussi surprenante !
Si, à la fin de votre repas, vous vous demandez à l’instar de moi, où ces pizzaioli ont acquis leur savoir-faire (un séjour en Italie ? Un cours à New York ?) vous serez peut-être étonnés d’apprendre que la réponse est : internet (et ensuite, un processus de perfectionnement, bien entendu). En somme, ils ont réinterprété magistralement un grand classique mondial à la sauce montréalaise.
Miam.
Au-delà des étoiles.
Il faut aller au-delà des étoiles d’une évaluation sur Google, parce que les quatre ou même trois étoiles peuvent receler de fabuleux trésors. Ces notations sont souvent simplistes, parfois même dénuées de justification, et je n’y accorde généralement que peu d’attention (bien sûr, une multitude d’avis négatifs suscite naturellement quelques inquiétudes).
Pourquoi cette mise en garde ? Eh bien, voici, pour attribuer mes quatre étoiles à cet endroit, j’ai effectué une moyenne mathématique entre les créations que j’ai aimées et celles que j’ai adorées (suivant la terminologie de Google). Cependant, si je m’en tenais simplement à cela, vous n’auriez aucune idée à quel point j’ai été conquis par leur divine tarte aux pêches. In-cro-ya-ble. Le croquant au chocolat ne démérite pas non plus, et le moelleux « cake » au matcha est le parfait compagnon d’un thé blanc. Côté chocolat, celui à l’Earl Grey nous a également ravis.
Nonobstant, le reste n’a pas engendré en nous d’aussi vifs sentiments. Oh. Le niveau de qualité et de raffinement est incontestablement élevé ; il est évident que nous avons affaire à des pâtissières talentueuses, dignes d’un « cinq étoiles ». Un « cinq étoiles » assuré pour cet aspect. Là n’est pas la question. Toutefois, telle est l’essence de mon propos : qualité et raffinement ne riment pas toujours avec agrément absolu. Figurez-vous que je n’ai jamais d’aussi LOURDS croissants de ma vie. Des desserts, en somme, le plaisir n’était pas en proportion de leur poids ni de leur prix. En outre, la majorité des chocolats, beaux à croquer, ne révélait pas nécessairement une saveur intérieure digne d’écrire une lettre à ma grand-mère.
Dans la circonstance, si je devais un jour me pointer le nez à nouveau au Fous Desserts, je jetterais mon dévolu sur leurs gâteaux et tartes et je reluquerais certainement quelques autres préparations du présentoir dans l’espoir de dénicher quelques perles gustatives.
Il faut aller au-delà des étoiles d’une évaluation sur Google, parce que les quatre ou même trois étoiles peuvent receler de fabuleux trésors. Ces notations sont souvent simplistes, parfois même dénuées de justification, et je n’y accorde généralement que peu d’attention (bien sûr, une multitude d’avis négatifs suscite naturellement quelques inquiétudes).
Pourquoi cette mise en garde ? Eh bien, voici, pour attribuer mes quatre étoiles à cet endroit, j’ai effectué une moyenne mathématique entre les créations que j’ai aimées et celles que j’ai adorées (suivant la terminologie de Google). Cependant, si je m’en tenais simplement à cela, vous n’auriez aucune idée à quel point j’ai été conquis par leur divine tarte aux pêches. In-cro-ya-ble. Le croquant au chocolat ne démérite pas non plus, et le moelleux « cake » au matcha est le parfait compagnon d’un thé blanc. Côté chocolat, celui à l’Earl Grey nous a également ravis.
Nonobstant, le reste n’a pas engendré en nous d’aussi vifs sentiments. Oh. Le niveau de qualité et de raffinement est incontestablement élevé ; il est évident que nous avons affaire à des pâtissières talentueuses, dignes d’un « cinq étoiles ». Un « cinq étoiles » assuré pour cet aspect. Là n’est pas la question. Toutefois, telle est l’essence de mon propos : qualité et raffinement ne riment pas toujours avec agrément absolu. Figurez-vous que je n’ai jamais d’aussi LOURDS croissants de ma vie. Des desserts, en somme, le plaisir n’était pas en proportion de leur poids ni de leur prix. En outre, la majorité des chocolats, beaux à croquer, ne révélait pas nécessairement une saveur intérieure digne d’écrire une lettre à ma grand-mère.
Dans la circonstance, si je devais un jour me pointer le nez à nouveau au Fous Desserts, je jetterais mon dévolu sur leurs gâteaux et tartes et je reluquerais certainement quelques autres préparations du présentoir dans l’espoir de dénicher quelques perles gustatives.
Si je pouvais résumer succinctement le gros de mon expérience de consommation de viennoiseries dans ma vie, je vous la dépeindrais ainsi : un hochement de tête accompagné de paroles du genre « oh, c’est bon. ». Celle que j’ai eu des produits du Croissant Croissant fait figure d’exception. Le hochement de tête s’est fait plus prononcé et un point d’exclamation est venu remplacer le point dans « oh, c’est bon ! ». Vous saisissez la nuance ? L’envie d’en reprendre m’est venue immédiatement, bien que mon estomac affichât « plein ».
Leurs viennoiseries de qualité présentent des couches de pâte feuilletée qui sont bien développées, créant une texture légère et aérée. L’extérieur est craquant, créant un agréable contraste avec l’intérieur moelleux et le riche fourrage. Elles sont donc bien beurrées et sans être trop riches en sucre.
J’attends maintenant de voir la réaction de ma mère qui est la véritable destinataire de ces douceurs, mais elles devraient faire son affaire !
À noter qu’il est possible de savourer ses achats à l’intérieur avec une petite boisson (thé, café, limonade). La décoration est moderne, lumineuse et enjolivée de verdure. Étant pressé, j’ai tout pris pour emporter, mais j’ai tout de même eu la sagesse de commander une limonade à la rose pour la route. Cette bien rafraîchissante compagne m’a consolé de m’être retrouvé victime d’une congestion majeure sur l’autoroute 40.
Leurs viennoiseries de qualité présentent des couches de pâte feuilletée qui sont bien développées, créant une texture légère et aérée. L’extérieur est craquant, créant un agréable contraste avec l’intérieur moelleux et le riche fourrage. Elles sont donc bien beurrées et sans être trop riches en sucre.
J’attends maintenant de voir la réaction de ma mère qui est la véritable destinataire de ces douceurs, mais elles devraient faire son affaire !
À noter qu’il est possible de savourer ses achats à l’intérieur avec une petite boisson (thé, café, limonade). La décoration est moderne, lumineuse et enjolivée de verdure. Étant pressé, j’ai tout pris pour emporter, mais j’ai tout de même eu la sagesse de commander une limonade à la rose pour la route. Cette bien rafraîchissante compagne m’a consolé de m’être retrouvé victime d’une congestion majeure sur l’autoroute 40.
Pour certains, un changement d'heure équivaut à un changement d'humeur. Ce 12 mars 2023, je ne crois pas avoir rencontré l'employée derrière le comptoir à l'apogée de sa joie. Moi, avec mes yeux curieux et mes questions candides, me suis presque senti indésirable, tellement j'avais l'impression qu'elle n'avait pas envie de me vendre quoique ce soit. Eh bien, je le lui pardonne, mais elle aurait quand même peut-être dû se forcer un tantinet plus, parce que je me suis délecté de mes trouvailles à cette pâtisserie!
Autant les biscuits au beurre (compagnons heureux d'une tasse de thé) que leurs zeppole, cannoli, bomboloni et autres douceurs m'ont plu. Le fourrage au ricotta s'est avéré mon préféré, tandis que ma partenaire culinaire a préféré l'autre option disponible à ce moment-là, soit celui à la "costarde" (crème pâtissière). Elle a particulièrement apprécié le bombolone aux pistaches!
Quand j'y retournerai, je ferai emplettes de petits biscuits au beurre pour les partager avec mes collègues de travail ou à l'église. Je ne doute pas qu'ils trouveraient rapidement preneurs.
Autant les biscuits au beurre (compagnons heureux d'une tasse de thé) que leurs zeppole, cannoli, bomboloni et autres douceurs m'ont plu. Le fourrage au ricotta s'est avéré mon préféré, tandis que ma partenaire culinaire a préféré l'autre option disponible à ce moment-là, soit celui à la "costarde" (crème pâtissière). Elle a particulièrement apprécié le bombolone aux pistaches!
Quand j'y retournerai, je ferai emplettes de petits biscuits au beurre pour les partager avec mes collègues de travail ou à l'église. Je ne doute pas qu'ils trouveraient rapidement preneurs.
À ce jour, la Pâtisserie Madeleine est certainement l'une de mes favorites. Son offre de desserts est fabuleusement délicieuses. Nous avons adoré la chocolatine et le gâteau Paris-Brest, crémeux et noisetté à souhait!
La tablette aux fraises n'étaient pas mal non plus, sauf qu'elle revient nettement plus chère que les autres produits, sans pour autant offrir un spectacle supérieur en bouche.
La tablette aux fraises n'étaient pas mal non plus, sauf qu'elle revient nettement plus chère que les autres produits, sans pour autant offrir un spectacle supérieur en bouche.